Petit Cocotier c’est d’abord la transmission. D’un terroir et de savoirs.

Avant que Sébastien et André-Judes ne reprennent la ferme familiale, leur père et leur grand-père cultivaient au Morne-Rouge, sur le terrain où est situé aujourd’hui La Prairie (la ferme de Petit Cocotier). Déjà à l’époque, ils avaient fait le choix de l’agriculture diversifiée, plutôt que celui de la monoculture intensive. 

Ayant eu la chance de grandir dans cet environnement, au cœur de la faune et de la flore martiniquaise, Sébastien et André-Judes ont naturellement développé un ancrage fort à la terre. Fiers de cet héritage, il continuent aujourd’hui de défricher la trace ouverte pour eux, avec passion et l’envie de défendre au quotidien une agriculture saine et durable au service de la vitalité des sols et de la biodiversité.

Naturellement bon.

Cette vision se traduit concrètement dans le choix de nos partenaires et dans notre façon de cultiver. 

Respect des principes de l’agriculture biologique:  nous cultivons sans pesticides ni intrants chimiques de synthèse.

Respect des principes de l’agro-écologie: nous mettons en avant la biodiversité et faisons attention à l’utilisation des ressources d’irrigation, d’énergie, etc…

La permaculture comme idéal:  le cadre général dans lequel nous nous inscrivons est celui de la permaculture. Nos systèmes agricoles sont inspirés de la nature et de notre héritage familial et culturel, le jardin créole. 

Nous pensons que produire localement, de manière diversifiée et dans le respect de la nature, est une nécessité pour assurer un développement réellement durable. Au service des consommateurs, des producteurs et de la planète, notre mission est d’aider les martiniquais à avoir une alimentation saine et savoureuse en leur permettant d’avoir facilement accès aux productions locales de qualité.

Nous œuvrons pour la souveraineté alimentaire de la Martinique,  en valorisant les savoir-faire et les terroirs locaux, tout en assurant une collaboration bénéfique avec les producteurs. 

“A chaque fois que l’on mange on dit quelque chose.”